Salut les Schlecks ! Bon cette année pas de discours présidentiel pour nous mettre la pression du style : « les gars cette année je veux gagner la coupe vaudoise ! », à la Claude « Melon » Meylan il nous l’avait faite l’ami Magaaaaazzzz’
Non cette saison, aucune pression sur les pourtant larges épaules du coach Sanglier et son acolyte Baba (il est partout ce gars !). On s’est rendu tranquille chez les voisins d’Orbe II, qui malgré la récente relégation allaient s’avérer de coriaces adversaires…
Pourtant le coach avait prévenu, avait fait « tourner » l’effectif afin de donner du temps de jeu à tous, et ben on s’est encore planté ! Et aux penaux pour changer !
Le plus drôle dans tout ça c’est que malgré une entame de match plutôt catastrophique du FCE, on a marqué les premiers, et sur un vieux contre, c’est Dorcel qui pouvait catapulter le cuir au fond des filets sur un ballon qui traînait dans les seize.
La réaction adverse n’attendait pas longtemps et suite à un bon centre de leur remuant attaquant, le pauvre inspecteur Harry ne pouvait que constater les dégâts en déviant le ballon dans les filets. Ah t’avais dit « c’est BON !!!!» Combier ? Ben non pas bon…
Bref, le FCE se mit enfin en marche, et le 2ème but tombait comme un fruit mûr par la tête d’Ilir, suite à un excellent travail préparatoire de Dédé (un super nouveau joueur que nous vous présenterons bientôt, en fait c’est le frère de Dorcel, super sympa, pis en plus il est très bon !) et hop 1 à 2 !
Dédé s'est déjà fait plein de petits copains à Ependes !
Voilà, on se dit que ça va aller, que cette fois on passerait ce maudit 1er tour. Mais finalement, après plusieurs occas’ grosses comme des immeubles (ou aussi gigantesques que le bide à Talon), on marque pas et on se fait punir. Une première fois sur un pénalty accordé à nos adversaires, et une deuxième, sur un superbe ballon venant mourir dans les filet de Combier (bon Kiki nous a dit qu’il l’a déviée alors on le croit !). Donc 3 à 2 pour Orbe, qui survolté n’allait pas lâcher son os de sitôt.
Pourtant on a essayé, tant bien que mal, le coach a failli même accomplir le changement parfait, puisque en toute fin de match, c’est le boucher des Balkans (fraîchement entré) qui fusillait le portier dans un angle difficile. Le boucher qui plante, comme quoi tout arrive !
Le boucher a planté un goal incroyable !
Mais foutre le 1er pénau ça il arrive pas...
S’ensuit une fin de match un peu houleuse et bruyante, donc l’homme en noir choisit justement de mettre un terme au temps réglementaire. Place aux tirs au buts, et c’est pas peu dire qu’on est pas très bon… Après Suchy l’an dernier, on sort bêtement de la compétition. Vivement le championnat qu’on montre autre chose à nos ultras !
A bientôt les Schlecks !
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